Vélo

Ce samedi, Fabien et Rémy m’ont autorisé à rouler avec eux, chouette. Rdv de bonne heure chez Fabien et en route vers Breuil où on doit croiser Rémy. On démarre tranquillement histoire de bien s’échauffer. Mes jambes et mon genou n’ont pas l’air en très grande forme…

Regroupement effectué, on continue à petit train en discutant. Ca dure comme ça jusqu’à ce qu’on tourne à gauche vers Fontenay St Père et les premières côtes. C’est là que la sortie commence vraiment. Comme d’habitude à cet endroit, je décroche avant le sommet obligeant les 2 autres à se relever. Heureusement vient la descente dans laquelle Rémy lance la machine, relayé par Fabien et timidement par moi, mes jambes ne tournant pas tout à fait assez vite pour prendre le relai. Arrivés en bas, nous reprenons notre souffle avant de nous remettre dans le rouge dans la descente des Millonnets. Fabien s’est laissé décrocher pour mieux nous reprendre sur le bas. Il me dépose à 60km/h et fait de même à Rémy un peu plus loin… La suite est plus tranquille sur le plat jusqu’à La Roche Guyon

De La Roche à Limetz, il y a un peu de circulation. Sur la fin, on pourra se remettre pleine balle jusqu’à faire demi-tour pour prendre le chemin du retour. On est d’accord pour faire des relais de 2 minutes (enfin, moi j’ai des jokers). Malheureusement avant d’être sur route dégagée, Rémy fait une cascade après qu’une automobiliste ait décidé de se garer juste devant nous. Plus de peur que de mal, mais on a bien flippé! Enervé par cet incident Rémy repart de plus belle et je ne repasserai plus au vent jusqu’à la fin 🙂 Planqué dans les roues tout le long du retour, je me fais encore décrocher dans la même côte qu’à l’aller. Plus loin, une camionnette nous fait bien peur en décidant de traverser la route alors qu’on arrive lancé. Le radar un peu plus loin nous prendra d’ailleurs à plus de 50km/h. C’est juste pour prévenir, il n’y a pas de flash 🙂

Ca roule à nouveau facile jusqu’à la séparation. Avec Fabien, nous tournons les jambes en relais puis sans relais jusqu’à Triel. Je suis complètement lessivé. On bouffe devant la montée du Ventoux du Tour. Je rentre après ça et pour ne pas me vautrer lamentablement sur mon lit à 17h30, je me force à sortir faire quelques courses, mais que c’est dur…